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Brumisation

pour élevage et serre

Les animaux, comme les êtres humains, sont plus heureux et produisent plus dans un milieu confortable. La brumisation réduit le stress de chaleur et augmente la production. La brumisation permet de réduire le stress de chaleur pour toutes les espèces de volailles. Le taux de mortalité se réduit considérablement. Les poussins continuent à manger et à grandir. Les poules en batterie sont plus actives, elles produisent plus d’œufs de meilleure qualité. Dans le secteur porcin, la brumisation augmente l’appétit des truies en augmentant la production de lait.
Par conséquent on obtient une augmentation importante du poids des petits pendant la phase de sevrage, du poids des futurs petits déjà durant la gestation et permet à la truie d’être à nouveau en chaleur plus rapidement. Un milieu frais influence positivement l’activité sexuelle, il augmente la production de spermatozoïdes en apportant donc un bénéfice a tout de cycle de reproduction.

Même les bovins sont sujets au stress de chaleur. Les températures estivales influencent la production de lait, l’augmentation du poids et le cycle de reproduction. Une vache brumisée est une vache satisfaite et donc productrice.

Mère nature a une façon désagréable d’avertir les chevaux de ralentir le rythme quand ils doivent travailler en conditions de chaleur extrême. Si ces avertissements sont ignorés trop longtemps, les résultats sont souvent désastreux. Les courses, les galopades, les spectacles peuvent s’effectuer dans n’importe quelle condition climatique et si nous désirons que nos chevaux donnent le meilleur d’eux-mêmes sous la chaleur estivale nous devons alors faire de notre mieux pour rendre le plus confortable possible leur milieu et leur permettre de supporter les hautes températures.

Coût de

gestion minimum

Installations faciles, entretien minimum, consommations énergétiques réduites : tout cela permet de nombreuses solutions avec des avantages économiques qui rendent les systèmes de brumisation BRUMISUD un de choix les plus adoptés pour le rafraîchissement. L’installation et le coûts d’exercice de nos systèmes de brumisateurs haute pression sont beaucoup plus bas des autres systèmes de climatisation traditionnels.

“Le système rafraîchit les animaux sans créer un milieu mouillé”

Avantages
Les plus

Comparaison avec des systèmes de climatisation classique

Installation moins coûteuse

Le coût d’installation est estimé entre 1/8 et 1/2 de celui d’un système de climatisation standard.

Coûts d’exercice plus bas

Les coûts d’exercice sont estimés en 1/4 s’ils sont comparés à un système d’air réfrigéré. La consommation énergétique est limitée aux ventilateurs et à la pompe fog à la place des compresseurs, des pompes et des ventilateurs.

Air frais

Le flux constant d’air alimenté de l’extérieur vers l’intérieur des édifices permet l’échange et le rafraîchissement de l’air.

Brumisation

et l'élevage de vaches à lait

Les bovins non traités avec la brumisation haute pression présentent des éléments de stress physique et comportemental pour répondre à la chaleur, avec des effets négatifs sur l’activité, la physiologie, les prestations et les caractéristiques des carcasses abattues.
Les recherches ont mis en évidence qu’en conditions de température supérieures à 26º, les vaches à lait commencent à réduire la quantité de nourriture ingérée et par conséquent elles commencent à perdre du poids. La production de lait descend au niveau minimum. Les prestations reproductives, la santé et l’allaitement sont également réduits. Le stress de chaleur entrainera ses effets négatifs même dans les mois plus frais qui suivront. Les vaches à lait à rendement intensif sont les plus touchées par le phénomène du stress de chaleur.
Tout ceci, bien entendu, influence de façon négative l’activité économique de l’éleveur.
Le niveau de stress de chaleur dont souffrent les animaux dépend des conditions environnementales, de la température de l’air, de l’humidité relative, des courants d’air et des rayons du soleil. Les producteurs de lait aident les bêtes avec les zones d’ombre, les ventilateurs, la grande quantité d’eau fraîche à boire pour combattre la chaleur ; mais souvent les zones d’ombre et les ventilateurs ne suffisent pas. Dans les régions méridionales et où la chaleur et l’humidité atteignent les niveaux les plus hauts, les producteurs de lait utilisent également des systèmes à jets d’eau pour augmenter l’effet de rafraîchissement. Les recherches ont démontré que la brumisation intermittente, associée aux zones d’ombres et à la ventilation forcée, est une méthode très efficace pour rafraîchir les vaches à lait, pendant les saisons chaudes-humides. Grâce aux buses de brumisation à haute pression, on peut utiliser une quantité d’eau suffisante pour rafraîchir la peau des animaux.
L’eau, en s’évaporant, élimine la chaleur à l’air et aux animaux. Le mouvement de l’air produit par les ventilateurs brumisateur rend le système très efficace.
Rendement Lait kg/bête/jour +4kg/j. Les effets de ventilation et de brumisation sur le comportement des vaches à lait pendant les mois de l’été dans les régions du sud de l’Italie.

Publié par: American Society of Agricultural and Biological Engineers, St. Joseph, Michigan www.asabe.org – Citation: Pp. 303-311 in Fifth International Dairy Housing Proceedings of the 29-31 January 2003 Conference (Fort Worth, Texas USA) 701P0203. Auteurs: F. Calegari, L. Calamari et E. Frazzi

Cette recherche a évalué l’efficacité des systèmes de ventilation de l’unité de brumisation dans trois fermes avec des vaches de race “Frisona italiana” dans les régions du sud de l’Italie. Cette recherche a été conduite dans la période la plus chaude (Mai – Septembre) dans un laps de temps de deux ans consécutifs.
Dans chaque ferme, nous avons déterminé deux groupes d’animaux, semblables pour la production, le nombre de gestations et de périodes d’allaitement. Le premier groupe a été placé à l’intérieur d’un enclos avec un système de climatisation d’ambiance limité à la zone d’alimentation (mangeoire) et composé d’une installation de brumisation avec ventilation (FM). Le deuxième groupe, appelé “contrôle” (C), n’a pas été exposé à la climatisation. Les paramètres microclimatiques (température et humidité relative) ont été continuellement enregistrés dans chaque ferme avec des sondes électroniques placées à la hauteur des animaux et branchées à un enregistreur de données. Chaque semaine, nous avons procédé au relèvements individuels (deux fois par jour) de la production de lait et du comportement en observant les animaux dans les différentes zones. La différence dans la production de lait entre les groupes C et FM tourne entre 1 et 3 kg/bête/jour et dans la période la plus chaude entre 2 et 4kg/bête/jour. Le comportement des animaux changeait en fonction des conditions climatiques. En moyenne dans l’enclos climatisé, nous avons remarqué des valeurs plus élevées dans le pourcentage d’animaux actifs dans la zone du mangeoire (18.6% dans le FM contre 12.9% dans le C) et des valeurs plus basses dans le pourcentage d’animaux en position de repos (31.3% dans le FM contre 34.0% dans le C). Ces résultats démontrent l’efficacité du traitement en utilisant le système de ventilation-brumisation.

Rendement lait

kg / bête / jour

+4kg/j.

Brumisation

et l'élevage de volaille

Affronter la chaleur estivale est un grand défi pour la volaille. Soumise à un fort stress de chaleur, la volaille présente un taux de croissance réduit, quantité inférieure de nourriture ingérée, faible concentration alimentaire, diminution de la production d’œufs, niveau masticateur réduit, basse qualité des œufs (coque, dimension, contenu). En plus la chaleur cause augmentation de la mortalité.
Faire face à la chaleur des jours d’été est un grand défi pour tous les types de volaille. La volaille de tout genre et tout âge est susceptible au stress de chaleur, mais la volaille âgée affronte un risque plus grand. La conséquence du vieillissement de la volaille est l’augmentation des dimensions et du degré d’isolation thermique (plumage). Ceux-ci ont du mal à dissiper la chaleur.
Le signe le plus évident du stress de chaleur chez la volaille est la respiration haletante. Les poules n’ont pas de glandes de sueur pour baisser leur température; leur système de régulation est un refroidissement par une évaporation produite par le système respiratoire.
Ce processus prend beaucoup d’énergie qui génère une augmentation substantielle de la température corporelle.
En fin de compte, si le stress thermique n’est pas éliminé, la température du corps continue d’augmenter et aussi augmente le risque de mortalité.
Heureusement, nous pouvons intervenir pour réduire le stress de chaleur dans votre poulailler.

Les effets du stress de chaleur sur la volaille
Les volailles règlent leur température corporelle grâce à une dispersion de chaleur à travers:
⦁ leur peau et leur plumage
⦁ l’évaporation à travers la respiration

Cette capacité de thermo-régulation est compromise si les volailles sont élevées dans un endroit restreint.
Ceci réduit leur capacité de céder de la chaleur par radiation, convection et rayonnement.
En plus, leur capacité de céder de la chaleur par évaporation se réduit en cas de taux d’humidité élevé.
Quand la capacité de dispersion de la chaleur corporelle se réduit, la température corporelle augmente et elles commencent à souffrir de stress de chaleur, de désydratation et de fatigue.
Le tout compromet leur bien-être et peut engendrer une mauvaise qualité des viandes à cause de: l’altération de l’équilibre des acides de base l’altération de l’état d’hydratation la fatigue et l’épuisement des réserves d’énergie, y compris la perte de glycogène dans le foie et dans les muscles.
En conclusion, si la température corporelle augmente de plus de 4ºC, la volaille mourra.
Loger les poules dans un espace bien aéré aide à réduire l’impact du stress thermique. De plus, un système de brumisation les aide à se rafraîchir.

Mortalité

Causée par les hautes températures

-99%

Brumisation

et l'élevage de porcs

Quand la canicule est là, faire un gros repas est la dernière chose dont nous avons envie.
Avec des températures comprises entre 30 et 40°C, les cochons sont probablement trop occupés à rêver à une flaque bien fraîche plutôt qu’à l’alimentation.
La performance de croissance des animaux est souvent influencée par les conditions environnementales extrêmes.
Dans le cas des porcins, en général un environnement sec augmentera la quantité de nourriture ingérée indispensable pour maintenir la température corporelle, tandis qu’un environnement chaud peut en réduire la croissance ; augmenter l’effort physique pour le maintien signifie soumettre l’animal au stress environnemental.
Tous les animaux ont une zone thermo-neutre, une plage de température plus confortable pour eux et à l’intérieur de laquelle la température corporelle reste constante. Les températures estivales dépassent souvent la zone thermo-neutre des cochons. Etant donné que les systèmes de climatisation sont trop coûteux pour représenter une solution pratique, vaporiser les cochons avec de l’eau est un remède qui peut aider à en réduire le stress. Les recherches conduites jusqu’à présent démontrent que les températures environnementales élevées (>25°C) influencent de façon négative l’apport de nourriture et par conséquent les performances respectives. En augmentant la température, on obtient également des changements physiologiques chez les cochons y compris la température rectale, la fréquence respiratoire et les pulsations. Les données sur la réponse physiologique des porcs aux hautes températures nous permettent une meilleure compréhension des modalités d’application de la brumisation et par conséquent sur l’utilisation de l’eau. Les chercheurs considèrent que la brumisation est nécessaire exclusivement durant les évènements qui provoquent l’augmentation de la température corporelle, comme par exemple pendant un repas.
La brumisation s’est révélée être un système efficace dans les élevages porcins pour réduire le stress de chaleur pendant le pic des hautes températures estivales. L’utilisation de la brumisation ou la vaporisation d’eau pour mouiller les cochons augmente l’efficacité de rafraîchissement par évaporation puisque le processus se manifeste sur la surface épidermique plutôt qu’essayer de rafraîchir les animaux en abaissant la température de l’air. Pensez à la sensation de fraîcheur que l’on ressent en sortant de la piscine en une journée bien aérée. Le même concept peut être appliqué au rafraîchissement par évaporation pour les cochons.
Les tests effectués ont clairement démontré qu’il est essentiel de considérer tant la physiologie des cochons que l’architecture des élevages, dans l’utilisation de la brumisation comme une stratégie d’augmentation des performances. Nous avons estimé de façon positive l’impact de la synchronisation entre la brumisation et la durée et la consistance des repas.
Une expérience menée sur quatre-vingts cochons de 70Kg (à l’état sauvage) pendant 30 jours a déterminé les effets de la brumisation, synchronisée avec les repas.
Nous avons comparé trois différentes situations :

  1. Brumisation avant le repas
  2. Brumisation avant et après le repas
  3. Aucune brumisation

La température de l’air a été maintenue à 30°C avec une humidité relative du 50% . L’évaluation s’est basée sur deux variables, la quantité de nourriture consommée et la durée des repas. Les résultats son indiqués dans le tableau 1.

Les effets du stress de chaleur sur la volaille
Les volailles règlent leur température corporelle grâce à une dispersion de chaleur à travers:
⦁ leur peau et leur plumage
⦁ l’évaporation à travers la respiration

Cette capacité de thermo-régulation est compromise si les volailles sont élevées dans un endroit restreint.
Ceci réduit leur capacité de céder de la chaleur par radiation, convection et rayonnement.
En plus, leur capacité de céder de la chaleur par évaporation se réduit en cas de taux d’humidité élevé.
Quand la capacité de dispersion de la chaleur corporelle se réduit, la température corporelle augmente et elles commencent à souffrir de stress de chaleur, de désydratation et de fatigue.
Le tout compromet leur bien-être et peut engendrer une mauvaise qualité des viandes à cause de: l’altération de l’équilibre des acides de base l’altération de l’état d’hydratation la fatigue et l’épuisement des réserves d’énergie, y compris la perte de glycogène dans le foie et dans les muscles.
En conclusion, si la température corporelle augmente de plus de 4ºC, la volaille mourra.
Loger les poules dans un espace bien aéré aide à réduire l’impact du stress thermique. De plus, un système de brumisation les aide à se rafraîchir.

Traitement

Nourriture ingérée

Durée repas (h)

Nourriture intégrée

Une meilleure croissance

+13%